photo Jerusalem In My Heart / Hyperculte

Jerusalem In My Heart / Hyperculte

Dijon 21000

Du /00/1e16 au //099

Concert - Electro Jerusalem In My Heart (CA) Le duo Jerusalem In My Heart (JIMH), collaboration audiovisuelle de musiques arabes contemporaines réunissant le musicien et producteur Radwan Ghazi Moumneh et Erin Weisgerber qui rejoint visuellement le plateau, manipule et redonne un souffle poétique et coloré à des pellicules 16mm fanées. La musique de JIMH repose sur un métissage de chants mélismatiques arabes, de bouzouki et de traitements sonores résolument contemporains. Hyperculte (CH) Le duo, formé de la fine fleur de la scène rock expérimentale genevoise - Simone Aubert (Massicot, Tout Bleu) à la batterie, guitare et chant et Vincent Bertholet (Orchestre Tout Puissant Marcel Duchamp) à la contrebasse et chant -, poursuit sa cavalcade folle dans un monde en proie au chaos, pour mieux nous entraîner dans sa transe mêlant disco, pop, kraut, punk et post rock.

photo Les Nuits de l'Alligator (Théo Charaf, Jerron Paxton, Left Lane Cruiser)

Les Nuits de l'Alligator (Théo Charaf, Jerron Paxton, Left Lane Cruiser)

Dijon 21000

Le 18/02/2022

Théo Charaf (FR) Le chanteur guitariste Théo Charaf a fait ses armes dans divers groupes garage-punk lyonnais. Et puis un jour, il a découvert Devil Got My Woman de Skip James, et ne s’en est pas remis. En revanche, il s’est mis à la guitare acoustique, puis à chanter du folk et du blues comme s’il avait traversé l’Amérique à pied. Théo Charaf a fait son premier concert en solo au printemps 2019, et enregistré son premier album dans la foulée. Et c’est un vrai choc, un disque poignant qui convoque les fantômes de Mississippi John Hurt, Townes Van Zandt ou Richard Hawley. Cette voix, cette guitare et cette gueule… Théo Charaf a marqué ceux qui l’ont vu sur scène entre deux confinements, il est la découverte Alligator de l’année, et vous ne serez pas prêts de l’oublier. Jerron Paxton (US) Un rêve : aller faire un tour en Amérique dans les premières années du XXè siècle, quand le blues ne s’appelait pas blues et n’avait pas encore été enregistré, simplement joué à l’harmonica ou au banjo dans un champ ou sur un quai de gare. Avec l’Américain Jerron Paxton, ce rêve peut devenir réalité. Il est né en 1989. Il a donc la petite trentaine. Mais s’il était né en 1889, il aurait[...]

photo Les Nuits de l'Alligator (Théo Charaf, Jerron Paxton, Left Lane Cruiser)

Les Nuits de l'Alligator (Théo Charaf, Jerron Paxton, Left Lane Cruiser)

Dijon 21000

Le 18/02/2022

Théo Charaf (FR) Le chanteur guitariste Théo Charaf a fait ses armes dans divers groupes garage-punk lyonnais. Et puis un jour, il a découvert Devil Got My Woman de Skip James, et ne s’en est pas remis. En revanche, il s’est mis à la guitare acoustique, puis à chanter du folk et du blues comme s’il avait traversé l’Amérique à pied. Théo Charaf a fait son premier concert en solo au printemps 2019, et enregistré son premier album dans la foulée. Et c’est un vrai choc, un disque poignant qui convoque les fantômes de Mississippi John Hurt, Townes Van Zandt ou Richard Hawley. Cette voix, cette guitare et cette gueule… Théo Charaf a marqué ceux qui l’ont vu sur scène entre deux confinements, il est la découverte Alligator de l’année, et vous ne serez pas prêts de l’oublier. Jerron Paxton (US) Un rêve : aller faire un tour en Amérique dans les premières années du XXè siècle, quand le blues ne s’appelait pas blues et n’avait pas encore été enregistré, simplement joué à l’harmonica ou au banjo dans un champ ou sur un quai de gare. Avec l’Américain Jerron Paxton, ce rêve peut devenir réalité. Il est né en 1989. Il a donc la petite trentaine. Mais s’il était né en 1889, il aurait[...]

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